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Philippe Djian
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Philippe Djian, né à Paris en 1949, après une vingtaine de romans publiés à plusieurs millions d’exemplaires dans le monde entier, est toujours le même. Romans
Bleu comme l’enfer, Bernard Barrault, 1983 Zone érogène, Bernard Barrault, 1984 37°2 le matin, Bernard Barrault, 1985 Maudit manège, Bernard Barrault, 1986 Échine, Bernard Barrault, 1988 Lent dehors, Bernard Barrault, 1991 Sotos, Gallimard, 1993 Assassins, Gallimard, 1994 Criminels, Gallimard, 1997 Sainte Bob, Gallimard, 1998 Vers chez les blancs, Gallimard, 2000 Ardoise, Julliard, 2002 Ça, c’est un baiser, Gallimard, 2002 Frictions, Gallimard, 2003 Impuretés, Gallimard, 2005 Doggy Bag - saison 1, Julliard, octobre 2005 - saison 2, Julliard, mars 2006 - saison 3, Julliard, octobre 2006 - saison 4, Julliard, avril 2007 - saison 5, Julliard, novembre 2007 - saison 6, Julliard, mai 2008 Impardonnables, Gallimard, 2009 Incidences, Gallimard, 2010 Vengeances, Gallimard, 2011 Théâtre Lui, L’Arche/Scène ouverte, 2008 Lui, Gallimard/Futuropolis, 2010 (mise en bande dessinée par Jean-Philippe Peyraud) Nouvelles 50 contre 1, Bernard Barrault, 1986 Crocodiles, Bernard Barrault, 1989 Lorsque Lou, Gallimard/Futuropolis, 1992 (illustrations de Miles Hyman) Contes de Noël, Méréal, 1996 Mise en bouche, Gallimard/Folio, 2008 Mise en bouche, Gallimard/Futuropolis, 2008 (mise en bande dessinée par Jean-Philippe Peyraud) Traductions La Campagne de Martin Crimp, L’Arche, 2002 Tendre et cruel de Martin Crimp, L’Arche, 2004 Le Gardien de Harold Pinter, Gallimard, 2006 Into the Little Hill, de Martin Crimp, L’Arche, 2006 La Ville de Martin Crimp, L’Arche, 2008 Entretiens Entre nous soit dit, Jean-Louis Ezine, Pocket, 1995 Philippe Djian revisité, Catherine Flohic, Les Flohic éditeurs, 2000 Essai Au plus près, Catherine Moreau, La Passe du vent, 1999 « Une page de Djian possède un rythme, des couleurs, un éclat, une palpitation (double : manifeste et secrète), une sagesse et une folie qui n’appartiennent qu’à lui […] Le signe à quoi on reconnaît un grand écrivain, c’est que son style est une morale, une manière de comprendre le monde et d’agir sur lui. Ce n’est pas l’histoire qu’il raconte qui définit la morale de l’écrivain, mais la façon dont les mots poussent pour raconter une histoire. » |